Archives pour la catégorie PETIT TOUR DU MONDE :


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Marché flottant

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Temples

Wat Rong Khun

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Temple de Nakhon Pathom

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Ayutthaya

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J’aime …L’ile de skye – Ecosse

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Il est des lieux sur Terre que Dame Nature a particulièrement gatés : l’île de Skye en fait partie ! L’île est réputée pour ses paysages, souvent considérés comme les plus beaux de Grande-Bretagne. Mais on n’imagine pas à quel point … Les panoramas qu’offre l’île sont époustouflants !

C’est la plus grande des Hébrides Intérieure mais aussi la plus touristique. Un pont qui relie l’île de Skye à Kyle of Loclash a été construit, en dépit des protestations des habitants. Skye est vraiment magnifique, les landes et les tourbières s’étendent dans de vastes plaines qui cèdent la place à des massifs rocheux parfois vertigineux. Skye arbore toujours fièrement son identité gaélique.

Menhirs

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Eilean Donan Castle – 13è siècle

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Plateau du Quiraing

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La côte et ses hautes falaises. Leur nom est Kilt Rocksdx60a.jpg

Portree

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Piscine dans le ciel de Singapour

Pour profiter de cette piscine, il faut  aimer l’altitude : monter au 55eme étage, de l’hôtel Marina Bay sands, à Singapour.
Rien au bord  ne parait risquer comme il est montré sur les photos, car l’eau qui déborde est recueillie dans une sorte de canal et renvoyée dans le bassin.
Le bassin mesure 150m ; c’est la longueur de 3 piscines olympiques ; il s’appuie sur les trois tours de l’hôtel le plus cher du monde, en forme de navire. C’est la piscine la plus grande du monde à cette altitude…  

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Madame Desbassayns

securedownload.jpgCroyance et légende de la Réunion

Riche propriétaire terrienne du temps de l’esclavagisme, cette femme, qui résidait dans un grand domaine à la saline les hauts était un personnage controversé de cette période trouble de l’histoire réunionnaise. Née Marie Anne Thérèse Ombeline Gonneau-Montbrun, elle épouse en 1770 Henri Paul Panon, dit Desbassayns, à St Paul. Mère de neuf enfants, elle hérite, à la mort de son époux en 1800 d’un énorme patrimoine et dispose de plus de quatre cents esclaves sous ses ordres.

Officiellement décrite comme bienveillante, en particulier envers l’économie réunionnaise : Particulièrement active, elle gère son patrimoine d’une main de fer, mais organise aussi le développement de la canne à sucre, par le biais de la construction de plusieurs usines sucrières. Elle entame également des relations commerciales avec l’étranger. Enfin, elle réduit l’écart technologique de l’époque entre l’île et la métropole par l’acquisition de service de chimistes pour améliorer les procédés de fabrication du sucre. Autre preuve de son hospitalité, elle accueillera également en son domaine des malades ou des soldats blessés.

Mais elle est le plus souvent décriée comme abominable et cruelle, surtout envers ses serviteurs. Ses relations vis à vis de ses serviteurs étaient teintées de cruauté et de perfidie. En effet, les châtiments corporels étaient légion pour les voleurs ou les esclaves épris de liberté (main broyée, pied coupé etc.) ou ceux qui ne s’activaient pas assez à la tache (cachot et coups de fouet). C’est lors de sa mort que les histoires sur cette femme allèrent bon train, jusqu’à créer une légende urbaine qui perdure de nos jours.

securedownloadf.jpgA ce que l’on dit, la nuit où son corps reposait dans son cercueil, au sein de sa chapelle privée, la chapelle pointue, la foudre frappa l’édifice et l’éclair se fraya un chemin à l’intérieur, jusqu’au cercueil, le faisant voler en éclats. On dit que son âme fût alors emportée et jetée dans le volcan. Le lendemain matin, les esclaves, terrorisés, refusèrent de rentrer dans la chapelle, craignant que l’âme de leur défunte maitresse ne vienne les punir et les tourmenter.

La péninsule de Dingle

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Située à l’extrême sud-ouest de l’Irlande et moins connu que l’anneau du Kerry, la péninsule de Dingle recèle des paysages splendides. La douceur du climat, notamment grâce aux effets du Gulf Stream, a permis le développement de la végétation. 

La péninsule de Dingle, c’est une succession de collines qui se jettent dans l’océan. Et entre ces collines se sont créées des criques et des plages. Ici tout n’est que contraste : le bleu vif de l’océan et le vert tendre des prairies, le gris des rochers et la blancheur des plages de sable, les murs de pierre et les moutons blancs… 

Cette péninsule est l’un des 3 principaux « Gaeltacht » de l’île, c’est-à-dire une région où la langue gaélique est encore utilisée.  La péninsule, se decouvre en voiture ou en suivant la Dingle way, une randonnée de 178 km. Selon votre provenance et votre envie, vous pouvez commencer votre parcours à Tralee et le finir à Dingle ou inversement. 

Dingle est un petit port pittoresque où il fait bon à écouter de la musique traditionnelle le soir dans un de ses nombreux pubs.

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La star de ce village est un dauphin nommé Fungin qui vit dans les environs  du port depuis le milieu des années 1980. Peu farouche, on peu le voir lors d’une sortie en mer.La péninsule de Dingle possède de nombreux monuments du néolithique et des édifices datant des premiers chrétiens. Près de Ballyferriter, le Gallarus Oratory, oratoire en forme de bateau renversé est tout en pierre. Construit sans mortier, il résiste depuis plus de mille ans aux intempéries irlandaises et est encore étanche ! Près de Ventry se trouvent des huttes en forme de ruche (clochàns) qui furent construites par les ermites chrétiens. 

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Tout au bout de la péninsule, Slea Head est un décor exceptionnel. Ses falaises abruptes, par temps brumeux, vous plongeront dans une atmosphère mélancolique pour certains, mystérieuse pour d’autres.  Au centre de la péninsule, le Connor Pass se fraie un passage au travers des monts Slieve Mish et offre un très beau panorama sur les deux côtés de la péninsule. Par temps dégagé, on peut apercevoir les îles Blasket. abandonnées par leurs habitants dans les années 1950, la vie y étant devenue trop rude. On peut goûter à l’isolement de ces îles, en prenant un ferry à Dunquin ou à Dingle.  dingle.jpg

Gunkanjima

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Gunkanjima, littéralement « île navire de guerre », est le surnom de l’ile Hashima, située sur la côte occidentale du Japon. C’est l’une des 505 îles inhabitées de la préfecture de Nagasaki. Emergeant à 15 Km au large de Nagasaki, longue de 480m et large de 160, elle fait penser à Alcatraz.

En 1810, la découverte fortuite de charbon a radicalement changé le destin du récif, le charbon de cette île ayant joué un rôle prépondérant dans l’industrialisation du Japon. L’île fut achetée en 1890 par Mitsubishi qui y a lancé l’exploitation du charbon, et y a fait venir massivement de la main d’œuvre. On y a ainsi recensé une population de 5 300 habitants pour 6,3 hectares de superficie. En 1959, la densité de population était de 835 hab/ha pour l’ensemble de l’île et de 1 391 hab/ha pour le quartier des habitations.

0.jpgOn y recensait la plus forte densité de population au monde.

Commerces, marché, école, hopital, piscine, rien ne manquait. L’approvisionnement se faisait par bateau.

Durant la Seconde Guerre mondiale, l’armée américaine a lancé une torpille sur l’île en pensant qu’il s’agissait d’une navire de guerre, tellement sa silhouette en était ressemblante. Cela a donné le surnom à l’île Hashima.

Quand le charbon fut remplacé par le pétrole, l’industrie charbonnière de l’île s’écroula et sa population partit. Depuis 1973, elle est inhabitée , abandonnée , elle revient à l’état sauvage.

Quand les mines ont fermé, les habitants sont vite partis, et quand on voit les conditions de vie, on comprend pourquoi. Immédiatement après, le gouvernement japonais a déclaré l’ile inaccessible, car il souhaitait cacher les conditions dans lesquelles les mineurs et leurs familles avaient vécu. Poser le pied sur l’ile d’Hashima est devenu illégal, avec peine de 30 jours de prison à la clé pour les contrevenants. gunkanjima4.jpgHashima est sortie de l’oubli en 2009 lorsque l’UNESCO a décidé le classement des sites du patrimoine industriel qui ont participé à la modernisation du japon. Et désormais l’ile est ouverte aux touristes  pour 4 300 yens pour un trajet en bateau avec escale.

Quelques belles chutes !

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Les indiens d’Amérique du Nord

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Leur histoire aurait commencé quelques 40.000 ans avant l’arrivée de Christophe Colomb. C’est à cette époque que venant d’Asie, ils se seraient installés en Amérique. Un pont de glace relie alors la Sibérie à l’Alaska. Tout en poursuivant des troupeaux de mammouths, des groupes de chasseurs nomades sont passés sans le savoir de l’Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s’installent partout du Nord au Sud. 

Une deuxième vague venant de Sibérie occupent les déserts glacés de l’Arctique, il y a 3000 ans. Ce sont les Inuits. Les peuples indiens s’adaptent aux milieux naturels les plus difficiles. Des grandes plaines de l’Ouest en passant par l’immense forêt amazonienne jusqu’à la terre de feu, ils créent des civilisations extrêmement différentes. 

Avant l’arrivée des Blancs, on estime que 7 à 8 millions d’indiens occupaient l’Amérique du Nord.  Les premiers Américains du Nord, les Indiens étaient et restent encore aujourd’hui des chasseurs ; 

C’est grâce au peintre Georges Catlin, qui alla vivre huit ans durant parmi les tribus des Grandes Plaines du centre, que nous connaissons l’aspect, les conditions d’existence et les moeurs de quelques tribus dans les années 1830 et 1840 – avant l’invention de la photographie et l’arrivée massive des Blancs. 

- Les Indiens de l’Est du Mississippi subissent la loi des colons depuis le début de la marche vers l’Ouest. Des traités ( non respectés ) ou des combats sanglants, les ont souvent privés de leurs terres. Ils sont refoulés sur la rive occidentale du grand fleuve où ils tentent de revivre. Ils y réussissent à force de courage et de travail.  Ailleurs, dans les immensités de Far West des centaines de tribus connaissent encore la liberté, mais pour combien de temps.  Des tribus vivent de chasse et de pêche; d’autres de chasse et de cueillette; certaines d’agriculture primitive. La diversité de leur mode de vie dépend de la nature physique de leur territoire respectif, de ses ressources végétales et animales. 

Loin d’être des  » sauvages », ils vivent simplement selon les rythmes naturels que la civilisation des Blancs va bouleverser pour leur malheur. 

- Les Pueblos apprirent le tissage aux femmes Navajos du Nouveau-Mexique et de l’Arizona. Celles-ci devinrent expertes en cet art. Leurs tapis et couvertures sont aujourd’hui encore très réputés pour leur grande qualité. 

- Pour les Indiens des plaines, les hommes et les bisons ne faisaient qu’un. De la frontière du Canada au Texas, les grandes plaines de la prairie s’étendent sur plus de 1500 Km. Les différents peuples qui y vivaient ne formaient pas un ensemble homogène, les rivalités étaient nombreuses , les guerres incessantes. 

- Rois des plaines du Nord, les Sioux règnent sur le domaine du bison. Ils en tirent leur subsistance, leur abri (tipi), leurs vêtements et bien de menus accessoires de leur vie quotidienne. 

-Les Apaches d’Arizona vivent en grande partie de chasse au petit gibier. Le père enseigne donc très tôt à son fils l’usage et le maniement de l’arc, pour la chasse mais aussi pour le combat. 

- Les Comanches comme tous les Indiens, acquièrent le cheval des Espagnols. Ils vont devenir des cavaliers d’autant plus redoutables qu’ils sont d’une hardiesse et d’une témérité folles, tant à la chasse qu’au combat. Chez les Comanches, dès 11 ans un garçon allait au champ de bataille. Les femmes adoraient exhiber les trophées de guerre de leurs maris. Elles en étaient très fières. 

Leur vie est rythmée par les fêtes religieuses. Le masque est l’élément central de la danse. Lorsque le danseur le porte, il oublie pour un temps sa personnalité et se dévoue totalement à l’esprit qui l’envahit. 

 Les rites et les danses des Indiens expliquent toute l’importance qu’ils accordent à leurs racines, aux liens qui les lient à l’environnement. Les Indiens sont beaucoup plus soucieux de la dimension spatiale que la dimension temporelle ou historique. Ils tiennent toujours à célébrer le lieu qui a vu naître le clan ou l’endroit qui lui a permis de se développer.

Les animaux, les plantes et les hommes étaient frères de sang. 

Les Shammans connaissaient tous les secrets de l’univers. Ils veillaient à ce que l’harmonie du monde soit respectée. » 

Les Indiens ont toujours honoré le cercle, symbole de l’éternité c’est la forme sous laquelle ce sont tenus les conseils des anciens. C’est la forme du soleil et celle de leur tente, les tipis. Tout leur pouvoir provenait du cercle sacré. Tant que le cercle n’a pas été rompu le  peuple prospérait comme un arbre en fleur. 

La Peinture sur les visages et les corps est une pratique qui réunit communication sociale et liberté individuelle d’expression. 

L’inhumation était perçue comme l’accomplissement du cycle humain. L’homme était né de la terre et à sa mort, il retournait là d’où il venait. La terre est perçue comme la mère nourricière. L’homme et la nature sont liés. Le même sang irrigue leurs fils.  D’ailleurs, leurs tombeaux reproduisent la forme du ventre d’une femme enceinte. C’est une façon d’honorer la maternité. 

Ils choisissent la forme sous laquelle ils veulent revenir en devenant un esprit. L’un dira : j’aime les arbres, il dira:  » je serais un cèdre et la tribu pourra se servir de moi. Un autre qui aime marcher dans la montagne dira: » je vais me transformer en cerf comme ça, ils pourront utiliser mes bois, mon cuir, mes sabots, manger ma chair ». Tous les esprits reviennent ainsi sous une forme ou une autre. L’important pour eux, c’est de servir aux autres générations 

Aujourd’hui les Indiens sont catholiques et protestants mais la majorité ont gardé un profond respect pour certains lieux sacrés et leur coutume ne peuvent subsister aujourd’hui que dans les réserves. 

Tumai, le village qui a banni les hommes

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A Tumai, au Kenya, des femmes ont choisi de vivre entre elles. Créée en 2001 par une trentaine de femmes, Tumai compte aujourd’hui 58 membres et le village 150 personnes dont 90 enfants et adolescents des 2 sexes.

Ces femmes s’attachent à construire une vraie démocratie participative, 100% féminine. Pour avoir la paix, loins des lourdeurs machistes du pays.

Tumai, c’est un espace circulaire de 2 hectares, composé d’une trentaine de huttes.

Une fois par mois, les dames de Tumai se rendent dans la montagne pour pratiquer l’un des plus vieux rituels de l’ethnie samburu .  En habit de fête, le groupe verse dans la rivière sacrée du lait de chèvre  et chante pour se concilier les esprits de la nature faire venir la pluie et sauvegarder le bétail du village.

Lors de la sècheresse de 2003 , les femmes avaient perdu toutes leurs vaches. Elles possèdent désormais des troupeaux de chèvres et ont édifié autours de leurs huttes en terre et bouses séchées, des fortifications faites de branches d’acacias. Le but étant de protéger les animaux et elles mêmes, des visites nocturnes. Celle des hyènes curieuses, des lions chapardeurs ou ..des hommes empressés.

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A main levée, en assemblée, ces femmes décident  au vote à la majorité, de la marche des affaires : vendre une poule, du poivre sauvage, acheter perles et cotonnades, envoyer les enfants à l’école primaire…

Les femmes de Tumai ne sont pas des amazones pures et dures. Les enfants sont conçus en dehors des limites du village.

Mais sous le ciel immense de cette savane plate et sèche, c’est l’horizon de la liberté.


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