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Le Codex Gigas

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Dans la Bibliothèque Nationale de Suède se trouve un livre unique et légendaire. Haut de 92 cm pour un poids de 75 kg, c’est le plus grand manuscrit médiéval connu. Considéré comme la 8ème merveille du monde durant le moyen-âge, ses dimensions lui valurent le nom de Codex Gigas (livre géant), mais il est également connu sous une appellation plus mystérieuse : la Bible du Diable,en référence aux nombreuses illustrations du diable qu’il contient.

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Créé au début du XIIIème siècle dans le couvent de Podlazice en Bohême (actuelle république Tchèque), le Codex Gigas est composé de 312 pages de parchemin qui nécessitèrent la peau d’environ 160 bêtes. Il contient différents textes écrits en latin parmi lesquels on peut trouver l’Ancien et le Nouveau Testament, des documents historiques tels que la Chronique de Kosmas, diverses formules incantatoires, ou encore un calendrier nécrologique.

L’une des caractéristiques étonnantes du Codex Gigas, mis à part sa taille, c’est la régularité de la calligraphie qui recouvre chacune de ses pages. Normalement, l’écriture varie au fil d’un manuscrit, que ce soit à cause de la fatigue ou parce que différents scribes se relaient. Mais ici, le style et l’application ne changent pas. On estime que l’ouvrage serait le travail d’un seul homme qui aurait œuvré durant plus de 20 ans.L’autre particularité du Codex, c’est une enluminure qu’on trouve à la page 290 : elle représente un Diable de plus de 50 cm de haut, griffu et cornu, qui trône seul sur le parchemin.

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De par l’importance qu’elle donne au démon, cette illustration est très inhabituelle pour l’époque, et peut-être unique dans un manuscrit religieux. C’est cette image qui donna au Codex Gigas son surnom de Bible du Diable, et qui alimenta la légende de sa création : on dit qu’un moine du couvent de Podlazice fut condamné à être emmuré vivant. Pour échapper à cette sentence, il jura d’écrire en une nuit le plus grand livre du monde. Mais quand minuit arriva, et qu’il comprit qu’il ne finirait pas à temps, le moine implora l’aide du démon. Pour remercier ce dernier, il ajouta la fameuse illustration.Au fil des siècles et des conflits, le Codex Gigas changea plusieurs fois de propriétaire.

 Après avoir été conservé dans différents monastères, il fut amené à Prague en 1594 pour rejoindre les collections de l’empereur Rodolphe II. Mais en 1648, suite au sac de Prague, l’armée Suédoise emporta le Codex parmi ses différents trésors de guerre. Il fut conservé à la Bibliothèque Royale de Stockholm jusqu’ au 24 septembre 2007, date à laquelle le gouvernement suédois rendit exceptionnellement le livre à la ville de Prague… pour une durée de 4 mois.

 Lors du transfert, qui réclama un an de préparation, le manuscrit fut assuré pour 10 millions d’euros.Aujourd’hui, une version entièrement numérisée du Codex Gigas est librement accessible sur le site de la Bibliothèque Nationale de Suède. A la page 290, on peut toujours y voir le Diable, qui arbore la même grimace menaçante depuis 800 ans

Elisabeth Bathory : la comtesse sanglante

elisabethbathory.jpgElizabeth (ou Erzebeth) Bathory inspira tout autant que Vlad Tepes, l’écrivain Bram Stoker pour son personnage de Dracula. Cette femme finit par être surnommée la Comtesse Sanglante.  Née en 1560 d’une famille royale qui comptait entre autres le prince de Transylvanie, des hauts magistrats ou encore des évêques et un cardinal, Elizabeth grandit en Hongrie dans un contexte trouble, entre paganisme et religion catholique. La jeune fille fut élevée par Jollona, une nourrice qui pratiquait entre autre la magie noire, et influença beaucoup Elizabeth. 

 Très solitaire, et en proie a de violentes crises d’épilepsie (ou d’hystérie?) qui faisait dire qu’elle était possédée par le démon, sa pâleur n’arrangeant rien à la façon dont elle était perçue.

A 14 ans déjà, elle tomba enceinte d’une petite fille, qu’elle cacha, puisqu’étant déjà promise à Ferenzc Nadasdy, le héros noir de la Hongrie, avec qui elle eut d’ailleurs deux enfants de plus. Son mari étant parti à la guerre, Elizabeth fut semble t-il initiée, entre 1586 et 1587, à des pratiques magiques par une sorte de prêtre dont on retrouve peu de traces. Son mari mourut en 1604.

Malgré le fait qu’Elizabeth maltraitait déjà ses servantes avant sa mort, sa fascination pour le sang qui coule s’exacerba lorsque un jour se faisant peigner par une servante, celle ci lui fit mal. Elizabeth la frappa si fort que celle ci se mit à saigner. Alors la comtesse cru voir qu’à l’endroit ou le sang de la servante l’avait touché, sa peau retrouvait jeunesse…  Ces servantes se mirent donc à « disparaitre » les unes après les autres, la comtesse renouvelant par nécessité son cheptel pour être toujours approvisionnée en sang, dans lequel elle se baignait maintenant, par peur de « vieillir ». Elle fut pour cela aidée d’une sorcière noire du nom de Dravulia Anna.

Bathory assassina plus de 600 jeunes filles dans ces délires. Elle fut arrêtée le 26 décembre 1610 par son cousin, et le jugement tomba : ses complices furent décapités, elle fut emmurée vivante dans son château de Csejthe. Elle vécut ainsi 4 ans dans le noir et la solitude. On dit qu’au soir de sa mort, la lune devint rouge. 

Championnat international de barbe et moustache …

davemeadphotographer17550x687.jpgdavemeadphotographer16550x687.jpgdavemeadphotographer10550x687.jpgdavemeadphotographer15.jpgdavemeadphotographer3550x687.jpgdavemeadphotographer1.jpgdavemeadphotographer2.jpgdavemeadphotographer8550x687.jpgdavemeadphotographer4550x687.jpgEn 2009, le photographe Dave Mead s’est rendu en Anchorage (Alaska), pour réaliser des portraits photos des participants au championnat international de Barbe et Moustache. Une série de photographie intitulée “Magnificent Specimens“. Des personnages haut en couleurs portés par le talent photographique de Dave Mead.

 

Le plus gros lapin du monde…

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Les Philtres d’Amour

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Avertissement
Toutes ces philtres sont publiées à titre informatif.
Le second degré et le sens de l’humour sont obligatoires.

Les philtres d’amour servent à enclencher l’amour sur une personne que l’on désire.
Attention : pour que les philtres d’amour fonctionnent, n’en parler à personne.

Inscrivez sur un parchemin vierge ( de préférence végétal ), les mots suivants ( de préférence à l’encre de chine rouge ):
 » Sator, Arepo, Tenet, Opera, Rotas, Jah, Jah, Jah, Enam, Jah, Jah, Jah, Ketler, Chokmah, Binah, Tedulah, Teburah, Tipheret, Netzah, Hod, Jesod, Malkouth, Abraham, Isaac, Jacob, Shadrach, Meshach, Abednego, Venez tous pour m’aider pour tout ce que je désire « .
Prenez ensuite trois de vos cheveux. Roulez-les en une petite boule très serrée et arrosée de trois gouttes de sang de l’annulaire gauche. Portez ensuite le tout sur vous durant neuf jours et neuf nuits. Cachez cette préparation dans un objet ou bijou que vous offrirez à la personne aimée. Tant que l’être cher portera cet objet, vous serez assuré de son amour.

Autre philtre
Prenez une mèche de la personne que vous souhaitez voir tomber amoureuse de vous. Vous la mélangerez avec des poils de chèvre. Vous arrosez le tout de 9 gouttes d’essence de musc. Enveloppez cette préparation dans un morceau de cuir vierge et portez-le sur vous.

Autre philtre
Ingrédients
- Une plume à écrire
- De l’encre rouge
- Une bougie rouge
- Une pincée de romarin
- Une pincée de thym
- Une feuille de papier blanche.
Allumez la bougie rouge, puis, mélangez le thym et le romarin dans une soucoupe. Ensuite, inscrivez sur votre feuille, l’incantation à l’aide de la plume et de l’encre rouge :

Je demande à la grande déesse de l’amour de faire ne sorte,
Que ( inscrivez le nom de la personne désirée ) tombe en amour avec moi.
Je te remercie d’avoir bien voulu écouter ma demande, Ô toi, la grande déesse de l’amour.
Qu’il en soit ainsi !

Versez le mélange de thym et de romarin sur votre feuille, et enveloppez le tout dans le papier. Éteignez ensuite la bougie. Gardez sur vous le papier, et vous ne devrez absolument pas ouvrir le papier, car s’il quelqu’un le découvre, le charme sera brisé.

Autre philtre
Pour faire tomber quelqu’un amoureux de vous.
Ingrédients
- Une bougie rouge
- De l’encens de rose
- Une pomme
- Du miel,
- Une bande de papier blanc de 5 cm de longueur et de 2 cm de largeur,
- Un ruban rose ( assez long pour au moins faire 3 fois le tour de la pomme ).
Faites brûler l’encens, et allumez la bougie. Prenez la pomme et creusez l’intérieur pour en retirer le cœur, sans passer à travers. Ensuite, vous inscrirez à l’encre rouge le nom de la personne désirée, sur la bande de papier. Vous roulerez ensuite cette bande, et vous l’introduirez dans le trou de la pomme que vous avez fait. Ensuite, vous remplirez le trou avec le miel, et vous remettrez la chair de la pomme que vous avez extrait ( le cœur ). Vous entourerez la pomme trois fois avec le ruban rose, tout en disant :

Je te lie à moi avec ce ruban.
Ton nom m’est connu,
et je t’appelle à moi.
Que ton cœur s’adoucisse à mon égard.
Que tes yeux me voient
et brillent de sentiments pour moi.
Que ton amour réponde au mien.
Que nous soyons ensemble sous peu.

Vous irez enterrer cette pomme le lendemain, lorsque le soleil sera couché.

Lieux hantés en France

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Si le coeur vous en dit, voici la liste de ces lieux :

01. LA CHAPELLE DU CHATELARD : Entre Jujurieux et Saint-Paul-de-Varax, se trouve le village du Châtelard. hanté par le fantôme de Lucie de Bréhéville, meurtrière de son père à l’époque des guerres entre le Bugey et la Suisse. On la voit, la nuit descendre du Châtelard jusqu’à la fontaine d’Oiza, toute proche, laver des vêtements ensanglantés.

04. GREOUX-LES-BAINS : A 15 kilomètres à l’est de Manosque, sur la N 252, vous découvrirez cette ancienne commanderie templière en voie de restauration. Bruits de pas, manifestations ectoplasmiques, apparitions de silhouettes sur les murs dont furent témoins plusieurs jeunes gens campant dans l’édifice en 1971, telles sont les caractéristiques de la grande hantise de Gréoux. On a également signalé à Gréoux de nombreuses observations de boules lumineuses « dont l’une semblait protégée par un écran de flammes ». fantômes ou O.V.N.I. ?

17. SAINT-PALAIS DE NERIGNAC : Si vous parcourez la région à pied, vous rencontrerez plusieurs endroits où l’herbe, formant un cercle, est plus haute qu’ailleurs. C’est que ces endroits sont hantés par les fées qui s’assoient en rond après leurs danses.

22. HENABIHEN : A Henabihen, faites-vous indiquer les deux « maisons hantées ». Deux familles du village, les Lemoine et les Hinault, furent tourmentées, en 1961 et 1962 par un fantôme qui déplaçait les objets et tailladait les vêtements de gens. Le même esprit, facétieux ou lubrique, soulevait les Jupes des femmes à Landébia. Un camionneur M. Thual, eut quand à lui une jambe de pantalon arrachée alors qu’il se trouvait au volant.

22. SAINT-NICOLAS DU PELEM : Demandez la chapelle du Ruellou. Des manifestations surnaturelles (vacarmes lumières vives), y ont été constatées

24. MARCILHAC : La Maison des Anglais est une vieille bâtisse datant de la guerre de cent ans et dont les occupants successifs ont subi les maléfices tout au long des siècles. Le dernier en date, un cheminot nommé Jardel, trouva la mort le jour même de son emménagement (le toit s’étant effondré sur lui !) et sa fille se fit encorner par un bélier quelques jours plus tard

27. INCARVILLE : Prenez l’autoroute A13 jusqu’à Louviers à quelques kilomètres duquel se trouve Incarville. L’église du village est hantée par l’ancien curé de la paroisse, qui y est enterré. La nuit, on peut entendre le bruit de sa respiration dans la cour. Le phénomène date des années 70 et a fait l’objet de compte rendus dans la presse.

27. ABBAYE DE MORTEMER :. Située entre Lisors et Lyons, cette chapelle est hantée par le fantôme d’un moine cistercien, (aperçu à plusieurs reprises) ainsi, aux dires de certains, que par celui d’une femme autrefois emmurée.

27 CHATEAU-GAILLARD :. Un peu en dehors du bourg des Andelys, revenez vers minuit, vous aurez peut être la chance d’entrevoir, cheminant parmi les ruines, le spectre de Marguerite de Bourgogne, épouse de Louis X Le Hutin qui la fit étrangler en 1315 pour cause d’infidélité.

29. CHATEAUNEUF DE FAOU : Si vous voyez, par une nuit noire, les armées fabuleuses du roi Arthur cheminer sur la crête des Montagnes toutes proches, c’est qu’une guerre se prépare (on les a vus en 1914 et 1939 !) .

29. DAOULAS : Ce qui reste de l’ancienne léproserie (qui fut à une certaine époque commanderie de l’ordre du Temple) est hanté par des Moines Rouges.

29. KASTEL AR GIBEL : Ce vieil édifice se trouve à proximité de Huelgoat. Pour y parvenir, se rendre au « camp d’Artus », puis suivre le cours de la rivière d’Argent jusqu’au « Saut du Gouffre ». Le Kastel était la propriété de la princesse Ahez (ou Dahut), fille de Grallon, qui régnait sur la légendaire cité d’Ys. Le cri des amants de Dahut, qu’elle faisait sacrifier au matin après les avoir accueillis dans son lit pour une seule nuit, se font encore entendre certains soirs à cet endroit.

30 CAVENES : La chapelle, au milieu du cimetière est hantée par l’abbé Taulèle, ancien curé de la paroisse, décédé à la fin du siècle dernier. Plaintes, gémissements, soupirs

35. COMBOURG : Le château de Combourg, rendu célèbre par Chateaubriand, est hanté par un fantôme de chat.

35. PONT DU SECRET : Rendez vous à Paimpont, puis aux forges de Paimpont, en lisière de l’ancienne forêt de Brocéliande là ou l’Aff franchit la. Lisière. Cet endroit s’appelle le Pont du Secret. Il abrita les amours de Lancelot et de la. reine Guenièvre. Aujourd’hui, une auberge s’élève au bord de la rivière. Comme plusieurs clients de cet établissement vous pourrez peut-être assister à un curieux phénomène de hantise : quatre Bretons en costume national se matérialisent autour d’une table, buvant de l’hydromel et tenant une conversation animée. Ils sont bientôt rejoints par un cinquième personnage tenant un cheval par la bride. Parfois aussi, on entend des cris semblant provenir d’un ancien moulin situé sur la route des Forge, où une femme aurait autrefois été assassinée. ( Le spectre de cette femme peut être vu cris aux alentours du solstice d’été).

35. CHATEAU DE TRECESSON : Sur la lande de Saint Jean se dresse le château de Trécesson dans lequel chaque nuit, les fantômes de deux gentilshommes en costume du 18ème siècle rejouent une interminable partie de cartes qui se termine tragiquement : l’un des deux personnages transperce son adversaire de son épée. (!! s’agirait du spectre du marquis de Coëtlogon, comte de Trécesson). Dans le bois de hêtres tout proche, on peut également voir le fantôme d’une jeune femme « vêtue d’une robe nuptiale souillée de terre ».

39. RELANS : L’étang de la basse est hanté par une poule noire et un bouc noir. Une chasse merveilleuse passe dans les environs

41. CHATEAU DE BLOIS : Si vous vous aventurez dans les souterrains du Château de Blois, vous risquez de rencontrer le fantôme de Thibaut de Champagne, Comte de Blois, Chartres et Tours, qui livre pour l’éternité un duel contre un de ses vassaux. (Thibaut de Champagne hante également les abords du pavillon (de Montgrault, à Chambord, ainsi que la forêt avoisinante où les aboiements des chiens accompagnant sa chasse peuvent se faire entendre).

41. CHATEAU DE BEAUMONT-SUR-LOIRE : Situé entre Blois et Amboise, ce château isolé qui domine la Loire a, dès l’abord un caractère envoûtant. Cela n’est pas surprenant, puisqu’il est hanté par Foulques III Nera, Comte d’Anjou, mort en 1040 et à qui trois pèlerinages successifs en Terre Sainte n’ont apparemment pas suffit à purifier l’âme noire !

49. CHÂTEAU DE BRISSAC : D’Angers, prenez en direction des Ponts-de-Cé, puis après avoir traversé la Loire, suivez la N 671 jusqu’à Brissac-Quincé. Demandez au guide du château qu’il vous raconte l’histoire de Charlotte de France, épouse de Jacques-de-Brézé, seigneur de Brissac, par qui elle fut assassinée le 31 mai 1477 et qui revient par les nuits d’orage, sous la forme d’une Dame Blanche.

54. CHATEAU DE JAULIV : A quelques kilomètres de Thaucourt-Réqné-ville, vous trouverez facilement les restes du vieux château-fort hanté, dit-on par le. fantôme de Jeanne des Armoises que d’aucuns ont reconnu être Jeanne D’Arc échappée au bûcher. Plusieurs jeunes filles ont vu sa forme blanche circuler, vers minuit entre deux ailes du château.

62. NESLES : En 1965, un fantôme jouait de l’harmonium dans l’église (solidement fermée à clé !) aux environs de minuit Par ailleurs,. une forme blanche a été aperçue par un groupe de fillettes dans la journée

64. HENDAYE : La plage est hantée, par les fantômes des sorcières qui jusqu’au XIXe siècle, venaient célébrer le sabbat autour des menhirs qu’on y trouvait alors. Pour se venger, de l’enlèvement de ces mégalithes elles tourmentent les vacanciers assez téméraires pour prendre des bains de minuit. Certains habitants d’Hendaye expliquent certaines noyades

64. TARDET-SORHOLUS : Le fantôme du seigneur de Lahonce hante les environs du lieu où s’élevaient autrefois son château, dit le « château du vampire ».

76. SAHURS : Manoir du 15ème siècle. La propriétaire actuelle eut maille à partir en 1962, avec le fantôme d’un jeune homme portant une blessure au cou.

78. GAMBAIS : Prenez la N12 en direction de Dreux, puis, sur la nouvelle section à 4 voies, obliquez à gauche. Vous passerez bientôt devant la maison de campagne dans laquelle le sinistre Landru accueillait avec tant de chaleur ses fiancées successives. L’exécution du monstre barbu n’a pas donné le repos aux âmes des jeunes femmes puisqu’elles hantent encore les lieux. Aucune des personnes qui a succédé à Landru comme propriétaire ou locataire n’a pu résister très longtemps à l’influence maléfique de cet endroit maudit.

78. VERSAILLES : Rue de Montreuil, à Versailles, il existe un immeuble qui porte malheur à ses propriétaires. Sept d’entre eux en ont déjà subi le maléfice et en ont payé les conséquences, sur !e plan conjugal et financier.

83. MONFORT SUR ARGENS : A quelques kilomètres de Brignoles, en suivant la N 554 dans la direction de Barjols, vous arriverez au village de Montfort-sur-Argens. Le château se trouve au nord perché sur un promontoire dominant la rivière. C’est une ancienne commanderie templière, un des hauts-lieux de l’ordre. Monfort est une demeure « chargée » où ce sont produits de nombreux faits surnaturels : crânes humains se promenant d’une pièce à l’autre; apparitions spectrales (en particulier d’un curieux fantôme amnésique et sympathique que les actuels propriétaires ont surnommé Antoine). Phénomène unique : chaque fois qu’un habitant d’Argens est sur le point de décéder; on entend venant de la commanderie d’étranges bruits et gémissements. Ils seraient produits par les esprits demeurés sur place préparant à accueillir une nouvelle âme dans l’au-delà et à lui faciliter le chemin jusqu’au ciel.

85. TIFFAUGES : Dominant la route qui mène à Nantes, se dressent encore les ruines du château de Gilles de Rais alias Barbe Bleue. Les plaintes de ses innombrables jeunes victimes se font encore entendre par les nuits sans lune.

86. LUSIGNAN : Toute la région est hantée par la présence de Mélusine, fée mi-femme mi-serpent, dont est issue la famille de Lusignan qui régna sur Chypre à la fin du Moyen-age.

89. MANOIR DU CHASTENAY : Sur la nationale 6, entre Auxerre et Avallon, l’automobiliste descendant vers le sud traverse la petite ville d’Arcy sur Cure. Un hameau, le Val Sainte-Marie; domine légèrement le bourg. C’est là que vous trouverez le manoir du Chastenay, autrefois connu sous le nom de Château du Lys. Situé à l’embranchement de la route romaine d’Agrippa et de celle qu’empruntaient les pèlerins de Compostelle, le manoir est également le théâtre d’opérations supra normales. Des bruits étranges s’y font entendre « sorte de borborygmes géants ». Une dame blanche, le fantôme probable d’une dame d’Estut-Assay, châtelaine à l’époque de la révolution), a souvent été aperçue à l’une des fenêtres du manoir. (Des Spectacles Son et Lumières sont organisés au château, mais le spectre n’y participe généralement pas !).

La papesse Jeanne…

Selon la légende, la papesse Jeanne se serait fait passer pour un homme afin de pouvoir monter sur le trône de Saint Pierre. Toutefois, cette dernière fut rapidement démasquée, accouchant en public.

Mais que s’est il vraiment passé en réalité ?


Selon certaines sources, une jeune femme originaire de Mayence, Jeanne, serait partie en Angleterre vers 850 afin d’y poursuivre ses études (elle aurait vraisemblablement décidé d’accompagner son amant.). Prenant dès cette époque l’habitude de s’habiller en homme, elle partit ensuite étudier la philosophie à Athènes.

Suite à la mort de son amant, Jeanne se rendit à Rome. Quelques années après, elle fut nommée cardinal, et reçut l’autorisation de siéger à la Curie romaine. Finalement, elle fut élue pape en 855 ou 859, appréciée par le peuple autant que par les cardinaux.

Toutefois, lors d’une procession dans les rues de Rome (ou lors d’une messe selon d’autres auteurs.), à l’occasion de la Fête-Dieu, Jeanne perdit les eaux et accoucha en chemin, devant les yeux des Romains ébahis. Ces derniers auraient alors décidé de la lapider, elle et son enfant (selon certaines sources, ils se contentèrent de les chasser hors de Rome ; mais dans certains récits, Jeanne mourut en couches.).

La légende de la papesse Jeanne fut accréditée jusqu’au XVI° siècle par l’Eglise elle même. Toutefois, non seulement aucune chronique contemporaine n’accrédite ce récit, en outre, ce dernier est truffé d’anachronisme et d’incohérences. En effet, la plus ancienne université d’Angleterre, Oxford, ne fut inaugurée qu’au XIII° siècle ; le titre de pape n’apparut qu’à la fin du IX° siècle, sous le règne de Jean VIII (ses prédécesseurs n’étaient qu’évêques de Rome.) ; et la Fête-Dieu fut créée par le pape Urbain II au XIII° siècle, soit plus de 400 ans après les faits.

A noter en outre qu’il ne s’écoula qu’un court laps de temps entre la mort de Léon IV et l’élection de Benoît III (bien que la présence de l’antipape Anastase provoqua quelques complications.

Le premier texte concernant Jeanne la papesse date du XIII° siècle (A noter que la plupart des éléments du récit, tels que l’université anglaise et la Fête-Dieu, datent de cette époque.). Cet ouvrage reçut un écho favorable dans toute l’Europe, preuve qu’il existait déjà une tradition orale très répandue..

c’est à partir du XVI° siècle que le mythe de Jeanne la papesse commença à être mis à mal. Plusieurs ouvrages furent publiés à ce sujet, démentant la légende, reléguant l’histoire de Jeanne à l’état de pures fariboles.

En réalité, ce fut lors du règne de Jean VIII, pape entre 872 à 882, que le mythe fit son apparition. Le souverain pontife, particulièrement faible, fut rapidement critiqué par les Romains. Ces derniers le surnommèrent alors Jeanne la papesse pour se moquer de son peu d’autorité.

Toutefois, malgré ces nombreux erratum, la légende resta toujours vivace, y compris jusqu’à nos jours.

Jeanne la Papesse, devenue aujourd’hui carte de tarot

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Pour une poignée de mains…

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Propeller Island City Lodge de Berlin

Le Propeller Island City Lodge est un hôtel situé à Berlin qui fait sensation. Chaque chambre est différente et appelle à des sensations spéciales.

Vous pouvez dormir dans une chambre imitation prison, une chambre imitation asile, une chambre remplie de miroirs à la place des murs, une chambre d’enfants ou encore une chambre avec une guillotine au milieu de la pièce…

Voici quelques chambres:

Chambre enfant

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Lit avec superbe guillotine…

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Chambre miroir

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Chambre avec meubles au plafond mais je vous rassure les lits sont dans les trappes que vous voyez au sol

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Chambre asile ou silence…

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Chambre cellule de prison

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chambre lit circulaire

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chambre zen (ouf !)

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Chambre antique d’écrivain

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Chambre avec lits cercueil

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chambre aux 300 carrés noir et blanc

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Le mystère des sphères de granit

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Il existe disséminées sur la planète des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois boules, certaines peuvent peser jusqu’a 12 tonnes, découvertes notamment dans les forêts du Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n’a pas trouvé la solution.On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières, de toute évidence elles seraient œuvres de la main de l’homme et l’on se demande encore comment en des temps anciens ceux-ci ont pu transporter ces sphères jusqu’à leur position actuelle.

On a localisé des sphères aux USA dans le Tennessee, l’Arizona , la Californie et l’Ohio, le professeur Marcel Homet archéologue et auteur du livre « Les fils du soleil » a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l’Amazonie, une pierre ovoïde gigantesque de 100 mètres de long et 30 mètres de haut. Elle est couverte de symboles solaires qui ne sont pas un caprice de la nature, mais qui ont nécessités un travail de sculpture s’étendant sur des dizaines d’années et exécuté par un nombre incalculable d’artistes.

Dans le petit Etat du Costa Rica, en Amérique Centrale, au milieu d’une jungle inextricable, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées de manière aléatoire, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu’on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !

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Le célèbre explorateur suisse Erich von Däniken nous rapporte en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l’axe de la colline. Il en a aussi trouvé réunies et groupées selon un ordre étrange, dans la vase d’un fleuve, et dans la plaine de Diquis où règne une chaleur accablante, il découvrit 45 de ces sphères qui cuisent sous le soleil.

Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d’entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d’un volcan ? S’agit-il de galets géants qui auraient roulés dans le lit d’une rivière durant des siècles et à qui la puissance de l’eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?

Erich von Däniken précise qu’il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Land-Rover, dans une jungle hostile où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa à un certain moment, d’aller plus loin.

Ensuite après une heure de marche, assisté d’un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C’était justement parce que ces boules de Piedras Blanca « se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d’aller les filmer ». Effectivement, il faut bien se poser la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu’être qu’artificiels et remontent à n’en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.

Plusieurs possibilités – Soit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d’années dans une carrière lointaine (puisqu’il n’en existe aucune à moins de 100 km dans la région) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 mètres de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d’être aperçue, vu le chantier qu’elle entraînerait). Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt et abandonnées là, pour une raison incompréhensible.

untitled.bmpSoit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l’arrivée de cette forêt ce qui nous plonge, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d’élaborer des objets d’une géométrie aussi parfaite qu’une sphère.

Soit encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l’existence réelle même de ces dieux est sujette à caution. L’un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy auteur de l’ouvrage surprenant : « La Lune clé de La Bible » paru chez l’éditeur « Julliard » en 1968 et en collection de poche « J’ai lu » (n°208) en 1974 et on peut dire ainsi qu’il a initialisé une nouvelle discipline que l’on appelle « l’Astroarchéologie ».1ntitled.bmp

Explications- Aujourd’hui, on n’a aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu’ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont on a constaté, que quel que soit leur diamètre aucune d’entre elles ne présente la moindre irrégularité. La perfection de ces objets prouve effectivement que les artisans qui les ont fabriqués, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. A notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 mètres de diamètre qui représente environ une aire de 5 mètres carrés et un volume de 8 mètres cubes, dans une roche aussi dure que le granit, qu’à l’aide de machines-outils programmables perfectionnées.

Il nous reste à découvrir comment ces extraordinaires artisans sont parvenus à réaliser ces objets avec une telle maîtrise, comment certaines boules ont été transportées jusqu’au sommet d’une montagne ou encore, on l’a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l’astre du jour notre Soleil.

Les archéologues réfutent cette interprétation, d’après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas que chez les Mayas ou les Aztèques. D’ailleurs les indigènes eux-mêmes rechignent à conduire les visiteurs sur les sites recelant ces boules parfaites, ils les considèrent comme des objets sacrés et les emplacements sont des sanctuaires interdits.

Conclusion – En 1940, l’United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l’archéologue Doris Z. Stone découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée : « Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables. »

Voilà donc encore un élément insolite qui nous invite une fois de plus, à nous interroger sur l’extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seuls vestiges en pierre découverts de nos jours, sont pour nous un grand mystère.


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