« Pour être heureux jusqu’à un certain point,
il faut que nous ayons souffert jusqu’au même point ».Edgar allan Poe
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Archives pour avril 2011
Le jardin d’Heligane
Publié 4 avril 2011 dans ARTICLES DIVERS : et PAYSAGES, NATURE : 7 Commentaires
The Losts Garden of Heligane, près de la ville de Cornwall Mevagizi, sont parmi les jardins botaniques les plus populaires au Royaume-Uni. Jardins décorés dans le style typique du XIXe siècle sous le nom de « gardenesk« , divisés en zones de différentes formes .
Le design a été créé par des membres de la famille Tremayne Cornish pour la période allant du milieu du 18 ème siècle jusqu’au début du 20 ème siècle .
Les jardins ont été abandonnés après la Première Guerre mondiale, et restaurés seulement en 1990.
Aujourd’hui, les jardins offrent une magnifique collection de rhododendrons et camélias de taille impressionnante,une série de lacs alimentés par une pompe à piston de 100 ans, des jardins potagers, jardins à l’italienne et d’une magnifique région sauvage avec fougères arborescentes primitives appelées « Jungle « et bien sur des figures de pierre et plantes .
Dans le jardin , on trouve le seul lieu en Europe servant au stockage d’ananas, chauffés au compost.
Une apparition divine au-dessus de l’océan Atlantique ? Pas du tout ! Ce nuage n’est aucunement naturel ; il est le fruit d’un lâcher de fusées éclairantes par un avion de l’Armée de l’Air américaine, visible sur la photo. Le motif dessiné par ces fusées éclairantes est connu sous l’appellation « ange de fumée ». L’explication suivante, plus fouillée, nous a été apportée par un cyber-membre :
» Il s’agit d’un lancer de leurres pyrotechniques, par un avion type c5 Galaxy. Une manœuvre utilisée en tant de tension pour éviter les missiles. Le reste est l’effet des vortex qui traînent à l’arrière de l’avion sur des km, d’où cet effet miroir. »
Les premiers dauphins – Conte polynésien
Publié 1 avril 2011 dans CONTES-LEGENDES & MYTHOLOGIE : 5 CommentairesIl était une fois un polynésien.
Depuis la mort de sa femme, ses six enfants étaient ce qui lui paraissait le plus important dans sa vie, et il passait son temps avec eux. Un jour, il décide d’aller avec eux pêcher dans le lagon. Ensemble, ils ramassent des « pahua, maôa, vana » (burgaus et oursins), et ils pêchent quelques poissons, des « paihere, roï, iihi » et « ume » (carangue, loche, rouget et nason). Content de la journée, le papa propose un concours de plongée aux enfants : le gagnant aura la plus grosse portion de « poe » au repas du soir. Les six enfants plongent ensemble hors du bateau. Le papa commence à compter les secondes :
- Hoê, piti, toru, maha… (un, deux, trois, quatre…).
Il est très fier de ses enfants :
- Mes enfants sont les meilleurs, ils sont tous de bons plongeurs !
Mais il attend si longtemps qu’il commence à s’inquiéter. Il a maintenant très peur pour ses enfants :
- Ah! Mes enfants, où êtes vous? Vous restez trop longtemps dans l’eau !
Et désespéré, il se jette dans le fond de son bateau ; il pleure parce qu’il est impossible aux humains de rester si longtemps sous l’eau, ils sont sûrement noyés. Il se sent mourir de douleur, quand, soudain six animaux qu’il n’a encore jamais vus jaillissent hors de l’eau ! Ils font des vrilles, et ils retombent dans l’eau avec de gros ploufs. Ils nagent autrement que les poissons, et ils viennent respirer de l’air à la surface de la mer.
Ils ont de grands sourires sur leur bec, et ils jouent gaiement devant lui … Brusquement, il comprend que ces animaux sont ses propres enfants, qui se sont transformés.
Les humains ne peuvent pas rester sous l’eau de nombreuses minutes, mais ses enfants sont devenus ces animaux marins, et ils le peuvent.
Et parce qu’ils étaient humains auparavant, ils aiment les hommes.
C’est pourquoi, aujourd’hui encore, ils les aiment et veulent jouer avec eux, rester auprès d’eux, leur donner un peu de joie.
Ils sont les dauphins, « te mau ôuà ».
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