Légende de France – Région : Centre

Il était une fois dans la vallée du Loir, près de Bonne-Val, un baron puissant qui n’avait de fierté que pour ses fils qu’il désirait chevaliers.
Le baron de Montboissier donnait à ses fils une éducation noble et dure.Il leur avait strictement interdit de fréquenter les paysans et plus spécialement les paysannes… Hors un des fils échappait à la surveillance de son père et se glissait dans les bois pour y retrouver sa maîtressCelle-ci l’attendait tous les jours en tissant une couronne de fleurs. Lorsque le beau prince tardait, Madeleine questionnait les fleurs pour connaître l’amour du prince à son égard.
Le prince avait l’habitude d’apparaître à la fin du rituel et ils échangeaiendelongs baisers passionnés.Mais un jour, le prince n’arriva pas. La jeune fille, inquiète, se mit à questionner les fleurs.
Ce jour-là s’étaient des pâquerettes. Elle les effeuille une à une mais toutes lui révèlent que le prince ne l’aime plus. Alors, perdue de tristesse, Madeleine se laissa glisser dans l’eau de la rivière…
Encore aujourd’hui, certains prétendent voir une jeune fille tout de blanc vêtue, marchant sur l’eau et tenant entre ses mains des pâquerettes qu’elle effeuille. Lorsque le dernier pétale correspond à un » il ne m’aime pas « , la revenante se met à pleurer. Mais lorsque le dernier pétale correspond à un « je t’aime « , elle disparaît dans un éclat de rire en exprimant tout son bonheur.
D’où l’expression » pleurer comme une Madeleine »
ARSENE GRISALI
Et en plus on les croque!
JC
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Et si cette légende était en partie vraie,quelle plus belle preuve d’amour éternelle !!!
point de fumée légendaire sans le feu de la passion.
Très bon week-end Béatrice.
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bonjour Béa,,
Quelle belle légende, ta vidéo est aussi superbe, ces pauvres petites tortues qui naissent que pour vivre quelques heures, courte vie que celle des tortues et quand elles ont la chance de survivre l’homme la tue à son tour pour en faire de la soupe, que l’homme peut être cruel et sans coeur, est-ce qu’un jour il se mettra à manger ses semblables, lui qui mange tout ce qui peut vivre sur la terre ? Décidément si besoin était de rappeler que la nature meurt par l’homme…………..bon allez j’arrête sinon ma colère va encore monter d’un cran (sourire).
Bon week-end Béa et merci encore pour les belles choses que tu nous fais connaitre.
Bisous, Helene
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