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Archives pour novembre 2010
Un ange ca ressemble à…
Un jeune enfant qui nous montre
Le merveilleux dans des choses toutes simples….
Celui qui nous a persuadé que tout est possible
Si seulement nous voulons y croire…
Cet inconnu qui nous a dit que notre sourire
A illuminé sa journée…
Cet étranger qui nous dit un mot gentil alors qu’en silence
Nous étions envahi par nos pensées et inquiétudes….
Cet étranger qui était justement là
Pour nous diriger au moment
Où nous cherchions notre route…
Cet inconnu qui nous a fait un sourire
Alors que nous nous sentions seul ou triste….
Cet ami qui nous envoies un diaporama
Ou un texte réconfortant alors
Que nous nous croyions seul chez nous….
Cet ami qui à touché notre coeur
Quand nous croyons que personne ne se souciait de nous….
A ce toutou ou ce minou
Qui pose sa tête sur nous……….
Les anges se présentent sous des apparences si différentes,
Ils sont de tous les âges, de toutes les couleurs,
De toutes les époques,de tous les plans…
Parfois ils se déguisent en ami, en voisin,
En professeur, en étudiant, en inconnu
Ou ils sont aussi proches que les membres de nos familles….
Les anges ne laissent pas d’adresse et ne demandent
Rien en retour de leurs bienfaits…
Et surtout, ils nous seront difficiles à repérer
Si nous avons les yeux fermés…
Mais ils seront partout où nous regarderons
Les yeux biens ouverts….
Beaucoup d’anges passent dans nos vies……..
Il y a ceux que nous avons vu dans la réalité…..
Il y a ceux que nous croisons virtuellement chaque jour
Et il y a ceux qui posent le regard sur nous….
Texte trouvé sur le net
Les fées de Cottingley
Publié 26 novembre 2010 dans ARTICLES DIVERS : et INSOLITES : 12 CommentairesVoici l’une des supercheries les plus incroyables du 20eme siècle. Cette histoire insolite est celle d’un simple mensonge enfantin, qui souleva la controverse partout sur la planète et ce, jusqu’à sa démystification, environ 66 ans plus tard par les aveux d’une des auteurs de cette impressionnante imposture.
L’histoire débute donc en juillet 1917, durant la première guerre mondiale, dans un petit village du nom de Cottingley, dans le West Yorkshire. Elsie Wright et sa cousine, Frances Griffiths, sont respectivement agées de 15 et 8 ans lorsque, pour la première fois, elles déclarent au père de Elsie qu’elles voient et s’amusent avec des fées dans le bois entourant la maison. Le père est incrédule et ne veut pas croire ces histoires .Cependant, les deux fillettes avaient bien l’intention de prouver que leur récit était vrai. Elles empruntèrent donc son appareil photo pour aller prendre quelques clichés de ces fées. C’est le père lui-même qui développa les photos dans sa chambre noire et, à sa grande stupéfaction, il y vit effectivement 4 petites fées comme l’avaient mentionné les fillettes.
Cependant,malgré cela, le père reste sceptique et rationnel. Il ne croit pas aux fées, et refuse d’y croire. C’est probablement pour le convaincre et faire taire ces moqueries que, environ un mois plus tard, les fillettes empruntent de nouveau son appareil photo pour prendre une seconde photographie.
Mais personne autour d’elles, ne veut les croire. Cependant, la mère d’ Elsie est moins sceptique que son mari et, en 1919, elle amène les photographies des fillettes à une réunion d’un groupe théosophique et y montre les clichés. Les photos font évidemment sensation.
À cette réunion se trouvait une femme du nom de Edward L. Gardner, un membre de la Société Théosophique et conférencier militant qui croit à l’existence des fées, des lutins et autres féeriques du même genre. Il voit, à travers ces images, la preuve irréfutable de l’existence des fées. De fils en aiguille, c’est en mai 1920 que cette nouvelle vint aux oreilles de Arthur Conan Doyle, le père de Sherlock Holmes. Conan Doyle est en pleine rédaction d’un ouvrage portant sur l’existence des fées lorsque cette nouvelle vint à ses oreilles, et de ce fait, il fait des pieds et des mains pour voir ces fameuses photographies. Rapidement, il réussit à mettre la main sur les copies des images et décident de faire équipe avec Gardner pour réaliser une enquête impartiale sur le sujet. Selon leur expertise, les photos ne semblent en aucun cas avoir été truquées.
En Août 1920, le duo fraîchement formé offre du meilleur matériel aux fillettes afin qu’elles puissent prendre de nouvelles photos des fées. Évidemment, les fées refusent d’apparaître si les deux fillettes ne sont pas toutes seules. C’est pourquoi un photographe du nom de Mr. Snelling se contentera de développer et d’authentifier les photos. Les jeunes filles retournent donc dans le bois s’amuser avec les fées et les résultats sont exactement comme le rêvait Conan Doyle, les jeunes filles prennent de nouvelles photos donc une qui est particulièrement surprenante et prouve, sans le moindre doute selon Conan Doyle, l’authenticité des images : il s’agit de la photographie nommée « Les fées prenant un bain de soleil » ou les ailes des fées semblent en mouvement.
C’est en décembre 1920 que la nouvelle parut dans le Strand Magazine. Conan Doyle y révéla toute l’histoire, tous les détails de leur enquête. Les fées existaient, des fillettes les avaient vues et un membre de la Société Théosophique, Geoffrey L. Hodson, prétendait en avoir vu et confirma par le fait même le témoignage des jeunes filles.
Malgré les commentaires défavorables et l’incrédulité des gens qui l’entourait, Sir Arthur continua à croire en ses fées.
C’est donc en août 1921, un an après avoir saisi ces fabuleuses images, que lui et Garnder proposent de renouveler l’expérience avec de l’équipement à la fine pointe de la technologie afin de prouver que les fées sont bien en mouvement et que le tout n’est pas une supercherie. Malheureusement, le temps est maussade presque tout l’été et les créatures féeriques ne se présentent que durant les journées ensoleillées. Aussi, les jeunes filles ont grandit et il est évident qu’il ne sera pas évident de reprendre contact avec les fées. Les choses se compliquent pour sir Arthur. Heureusement, un médium, avec qui il va sur les lieux, lui confirme que la forêt est magique et remplie de fées, gnomes et farfadets. Heureusement pour lui, il aura un nouvel argument de poids contre ses adversaires septiques.
C’est donc en 1922 que Conan Doyle écrit un livre nommé The Coming Of The Fairies ou il raconte l’aventure vécue par les deux jeunes filles, l’auteur est formel, les fées existent et les photos sont originales. C’est cette position qu’il défendra jusqu’à sa mort, 8 ans plus tard.
En 1983, c’est suite à un article parut dans un journal anglais au sujet des fées de Cottingley, qu’un journaliste reçu une très imposante lettre signée de la main d’Elsie. C’était une lettre d’aveux. La femme qu’était devenue Elsie (âgée de 82 ans) n’en pouvait plus de faire durer le mensonge. Frances, 76 ans, confirma toute l’histoire.
Elsie voulait dévoiler la vérité mais Francès la supplia de ne rien raconter, parce qu’on la taquinait à l’école . Parce qu’elles avaient aussi de la peine pour Conan Doyle pour tous les commentaires desagréables qu’il avait subis et aussi parce qu’il venait de perdre son fils à la guerre. Alors puisque Conan Doyle et M. Gardner étaient les deux seules personnes autour d’elles qui avaient cru à leurs photos de fées , elles décidèrent d’attendre qu’ils meurent de vieillesse pour tout avouer.
Les fillettes avaient tout simplement découpé des images de fées et collé sur des épingles, qu’elles avaient ensuite enfoncées dans le sol. Rien de bien compliqué. Le fait le plus surprenant est que l’auteur des dessins originaux n’a jamais vu ou reconnu son travail, malgré la popularité incroyable que ces clichés ont obtenue. La solution avait été trouvée en 1920, mais les rêveurs ne voulaient pas y croire.Finalement, sur son lit de mort, l’une des dames déclara que malgré leur fraude évidente, elles avaient bien vu des fées dans la crique de Cottingley. Le mystère reste entier. Laissons la légende enchanter nos rêves…
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