Archives pour mars 2010


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Youpi !

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Bon week end

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Bon vendredi

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Qui a inventé la sucette ? (on ne rit pas !)

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Les sucettes, ces sucreries dont tout le monde raffole… une langue bleue, un chewing-gum au milieu, toutes les fantaisies sont possibles! Mais d’où vient cette petite boule de sucre perchée sur un bâton ?
L’histoire des sucettes est en fait aussi ancienne que celle de la gourmandise…

Le premier bonbon en bâtonnet a très certainement été inventé par les hommes des cavernes qui disposaient de ruches et récoltaient le miel à l’aide d’un bâton. Ne voulant rien perdre de cette douceur sucrée, ils léchaient le bâton et c’est ainsi que naquit involontairement la première sucette ou le premier bonbon en bâtonnet. Un peu plus tard, dans l’Angleterre du 17ème siècle, les friandises fabriquées à base d’eau bouillie étaient un pur régal. Piquées sur un bâtonnet afin de faciliter leur consommation, les crieurs de rues de Londres accostaient les passants pour vendre leur « Lollipop ».
Ce n’est qu’au 20ème siècle, à l’ère de l’automatisation, que débute la véritable histoire de la sucette, mais les avis sont partagés en ce qui concerne le véritable inventeur de la sucette.
En 1905 déjà, la McAviney Candy Company produit des bonbons durs cuits, tournés à l’aide d’un bâton.
 

En 1908, à Racine, dans le Wisconsin, la Racine Confectionary Machine Company conçoit la première installation de production entièrement automatique pour sucettes.

Puis, l’immigré et entrepreneur russe Samuel Born inventa une machine dont le seul but était de fixer automatiquement des bâtonnets sur des friandises.

Enfin, en 1958, Enric Bernat fabrique la première sucette en Espagne et jouit rapidement d’une renommée nationale. Même si on ne sait pas exactement quand la première sucette a été fabriquée, une chose est sûre : avec ses formes et parfums variés, la sucette est devenue LA star de la friandise! Les Etats-Unis  lui font même hommage chaque année, le 20 Juillet, lors de la journée de la sucette (the National Lollipop Day) !  

Bon jeudi

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L’invitation de la folie

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La Folie décida d’inviter ses amis pour prendre un café chez elle.

Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa :

- On joue à cache-cache ?

- Cache-cache ? C’est quoi, ça ? demanda la Curiosité.

- Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu’à cent et vous vous cachez.

- Quand j’ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.

Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.

-1, 2, 3,… la Folie commença à compter.

L’Empressement se cacha le premier, n’importe où.

La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d’arbre.

La Joie courut au milieu du jardin.

La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d’endroit approprié pour se cacher.

L’Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.

La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.

Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99.

- CENT ! cria la Folie, je vais commencer à chercher…

La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n’avait pu s’empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert.

En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d’une clôture ne sachant pas de quel coté il serait mieux caché.

Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité

Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda

- Où est l’Amour ?

Personne ne l’avait vu.

La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d’une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l’Amour.

Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.

C’était l’Amour, qui criait parce qu’une épine lui avait crevé un œil.

La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s’excusa, implora l’Amour pour avoir son pardon et alla jusqu’à lui promettre de le suivre pour toujours.

L’Amour accepta les excuses.

Aujourd’hui, l’Amour est aveugle et la Folie l’accompagne toujours.

Jean de la Fontaine

Nature de rêve

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Un petit tour ?

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Bonne journée à tous

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Des armées qui disparaissent…

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Depuis des siècles, de nombreux cas de disparitions sont restés inexpliquées. En 1707, lors de la guerre de succession en Espagne, 4000 hommes qui partaient en guerre contre les armées de Philippe V, ne sont jamais réapparus de derrière la chaîne montagneuse des Pyrénées. Pourtant la bataille n’a jamais eu lieu ! Les expéditions Espagnoles qui partirent à la recherche du régiment n’ont retrouvé ni corps, ni armes ou ni bagages. En 1858, c’est un bataillon de 650 soldats qui disparu dans la forêt de Saïgon. Un autre bataillon qui les suivait à 2 km, n’a rien observé de particulier sur l’itinéraire commun emprunté !
Le bataillon de Norfolk- Le cas, le plus célèbre et le plus documenté est sûrement celui de la disparition du bataillon de Norfolk en 1915. Composé de 267 hommes, il défendait les positions Françaises et Anglaises contre les Allemands sur la presqu’île des Dardanelles (Mer noire). Dans cette région montagneuse, ils étaient partis prêter main forte à un corps d’armée Néo-Zélandais en difficulté.
Alors qu’ils s’enfonçaient dans la vallée, une autre compagnie de soldats du Commonwealth qui les observaient, furent témoins d’une étrange disparition. Ils virent descendre sur leurs camarades un épais nuage. Lorsque celui-ci se leva, le régiment avait disparu au fond d’une rivière asséchée. Un rapport sur ces évènements a été rédigé en 1917 (le rapport final de la commission des Dardanelles). Il évoque une étrange brume qui a recouvert le bataillon le 12 août, et suppose qu’il ait pu dissimuler des tranchées occupées par les Ottomans. Il relate également une bataille qui s’est déroulée à quelques kilomètres le même jour, et suggère que les morts du 5ème régiment étaient mêlés à ceux de cette bataille. 

Les témoignages douteux de trois vétérans – Trois témoins Néo-zélandais sont revenus sur l’évènement en 1965. Ils confirmèrent qu’aucun soldat n’était ressorti de la brume après environ trois quarts d’heures le 21 août… Mais le rapport évoque le 12 août et on accusa les véterants de s’être trompés en évoquant le 4ème régiment, alors qu’il s’agissait du 5ème.  Ces erreurs ont suffit à discréditer leurs témoignages aux yeux de nombreux sceptiques, qui ont conclu à la mort des soldats, suivie d’une putréfaction accélérée des corps sous une chaleur accablante. 

Autres cas – Ce phénomène se reproduisit une nouvelle fois en 1937, lorsque les armées Japonaises envahirent une grande partie de la Chine. Déterminé à résister devant l’occupant, Li Fu Sien (colonel Chinois) plaça deux bataillons le long du Yang Tsé. Le lendemain matin, un des bataillons composé de 3000 hommes avait complètement disparu, sans qu’aucune des sentinelles placées le long du fleuve n’aperçoivent le moindre mouvement de troupes. Les archives Japonaises confirmèrent qu’aucune bataille n’avait eu lieu ce jour précis, et qu’aucun homme n’avait été fait prisonnier. 


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